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mercredi 29 février 2012 à 14h

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Journée européenne d'action

Manifestation : Refusons l'austérité

D'autres choix sont possibles

Trajet / Parcours: Départ 14h de Bastille, puis Faubourg St Antoine - Nation

  • 12h30 : conférence de presse unitaire
  • 13h00 : rassemblement et initiative revendicative
  • 14h00 : départ en manifestation vers Nation

Ordre des cortèges syndicaux: CGT-UNEF-FSU-Solidaires

Ordonnancement CGT:
Mise en place 13 heures 30 Angle de la place de la Bastille et rue du faubourg St Antoine
UD 93 - UD 78 - UD 91 - UD 95 - UD 94 - UD 92 - UD 77 - UD 75

Premiers signataires de l'appel régional : CGT, FSU, SOLIDAIRES et UNSA

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/20158
Source : http://www.financespubliques.cgt.fr/Manifesta...
Source : http://solidairesparis.org/spip.php?article40...
Source : http://urif.cgt.fr/?p=1161


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Journée d'action européenne

Déclaration commune CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA

En Europe, le chômage frappe un grand nombre de salariés, particulièrement les jeunes et les femmes. De très nombreux salariés voient leur pouvoir d'achat fortement amputé. Les inégalités se creusent.

En France, la situation de l'emploi continue de se dégrader, l'augmentation de la TVA ne fera qu'aggraver les inégalités.

Face à ces situations économiques et sociales qui se dégradent et avec le durcissement de l'austérité comme seule réponse de la part des dirigeants européens, la Confédération européenne des syndicats (CES) appelle à une journée d'action européenne le 29 février, à la veille du Conseil européen. Dans ce cadre, les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA se mobiliseront partout en France pour que le travail et la justice sociale soient au centre des priorités politiques.

Les mesures d'austérité ne sont pas la réponse à la crise, au contraire, elles produisent d'énormes dégâts sociaux. On ne peut pas continuer à imposer des mesures qui ne marchent pas, qui enfoncent les pays dans la crise et appauvrissent de plus en plus de salariés, chômeurs et retraités.

Le projet de traité, élaboré sans véritable débat démocratique, qui sera à l'ordre du jour du Sommet européen de mars 2012 renforcerait l'austérité. Son principal objectif est de réduire au maximum les déficits publics quels qu'en soient les impacts sociaux. Il ne relancerait pas la croissance et ne résoudrait pas la crise de la dette souveraine.

Le besoin de gouvernance économique est utilisé dans beaucoup de pays pour justifier la mise en cause des systèmes de relations sociales et de négociations collectives, pour imposer une pression à la baisse sur les salaires, pour affaiblir la protection sociale, le droit de grève et privatiser les services publics.

Parce qu'il est contraire à l'Europe sociale que nous voulons, avec la CES, nous nous opposons à ce projet de traité. Nous avons besoin d'une nouvelle politique monétaire économique et sociale dans le cadre d'une gouvernance économique forte de la zone euro qui donne priorité aux politiques en faveur de la création d'emplois de qualité.

Pour une Europe sociale fondée sur la solidarité, la justice et la cohésion sociale, les organisations syndicales CGT, FSU, Solidaires, UNSA s'engagent dans cette mobilisation en y impliquant largement tous les salariés, partout dans les entreprises et les administrations. Elles appellent à faire du 29 février une puissante journée d'actions passant notamment par des rassemblements et des manifestations interprofessionnelles.

(NB : La CFDT décidera lors de son conseil national des 14 et 15 février les modalités de son engagement dans cette mobilisation.)

Source : http://www.solidaires.org/article39669.html
Source : http://www.etuc.org/a/9589
Source : message reçu le 2 février 16h


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Trop c'est trop, des alternatives existent pour l'emploi et la justice sociale

CGT: Déclaration du Comité Confédéral National

Le 29 février 2012, ensemble, à l'appel de tous les syndicats d'Europe agissons pour dire non à l'austérité.

Une vaste campagne de culpabilisation se développe. Partout, les salariés s'entendent dire qu'ils coûtent trop cher.

En France, le Président de la République a annoncé deux mesures qui à nouveau vont frapper durement les salariés, les retraités, les privés d'emploi.

Après la réforme des retraites de 2010 et les deux plans d'austérité de 2011, il aggrave la situation en voulant augmenter la TVA, l'impôt le plus inégalitaire, diminuant encore le pouvoir d'achat pour le plus grand nombre de salariés.

La Protection sociale serait une nouvelle fois fragilisée.

Il entend instaurer des accords « compétitivité emploi » légalisant ainsi le chantage des employeurs « emploi contre salaires et temps de travail ». Ces accords ouvrent la voie à la remise en cause d'un pilier essentiel du droit social français et du contrat de travail.

Plus globalement, âge de départ à la retraite, durée légale du travail, conventions collectives, procédures de licenciement, salaire minimum, droit de grève, service public et protection sociale… tout devrait passer à la moulinette de la « compétitivité ».

Partout en Europe, les mêmes logiques sont imposées de façon coordonnée. En effet, les chefs d'Etat et de Gouvernement ont décidé de passer un cran supérieur pour instaurer l'austérité.

Ils s'apprêtent à signer un nouveau traité, le 1er mars prochain, élaboré à quelques uns en dehors de toute procédure et consultation démocratique. Il imposerait un carcan budgétaire et économique à des pays déjà durement touchés par le chômage et la récession.

L'austérité s'imposerait à tous encadrant toute négociation au niveau national, sectoriel et d'entreprise et réduisant les capacités d'intervention des organisations syndicales.

Ce traité est contraire à l'Europe sociale à laquelle nous aspirons, il ne ferait qu'alimenter les rejets des solidarités, les replis nationaux, la montée des forces nationalistes et d'extrême droite.

Les syndicats de chaque pays européen réunis dans la Confédération Européenne des Syndicats s'opposent à ce traité.

Ils appellent, ensemble, à agir le mercredi 29 février 2012 à la veille du sommet européen pour dire non à l'austérité et exiger des réponses pour l'emploi et la justice sociale.

Toutes les organisations professionnelles et départementales de la CGT appellent donc les salariés, à se mobiliser dans l'unité syndicale la plus large, à décider de la grève sur les lieux de travail le 29 février 2012 et à participer aux manifestations interprofessionnelles qui seront organisées sur tout le territoire.

Source : http://urif.cgt.fr/?p=1161
Source : http://ulcgt20.org/spip.php?article711


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Non aux plans d'austérité ! Nous ne paierons pas leur crise !

Sud Poste 75

Grève et manifestation le mercredi 29 février - 13h30 Bastille.

Source : http://www.sudposte75.fr/spip.php?article1945


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Journée d'action européenne syndicale

Tract CES

à la veille du sommet européen, les syndicats européens adressent un message aux dirigeants européens

trop c'est trop ! L'austérité, ça ne marche pas !

Les effets de la crise économique et sociale ont atteint des niveaux insoutenables pour des millions d'Européens. Les mesures d'austérité aggravent la situation et provoquent d'énormes dégâts sociaux comme le soulignent, d'ailleurs, des économistes réputés.

Les dernières statistiques européennes sur l'emploi montrent que le taux de chômage atteint un niveau record, en particulier chez les jeunes : dans de nombreux pays, quasiment un jeune sur deux est sans-emploi. 115 millions de personnes, soit 23,5 % de la population, est menacée de pauvreté ou d'exclusion sociale. Les inégalités se creusent. La peur du lendemain est grande avec comme conséquences le repli national et la montée de l'extrême droite.

Face à la dégradation de la situation économique et sociale, la seule réponse de nos dirigeants est le durcissement de l'austérité. Le 30 janvier dernier, un Sommet européen a mis au point un nouveau traité international qui grave dans le marbre la discipline budgétaire. La monnaie unique implique une gouvernance économique, mais le syndicat européen s'oppose à ce traité qui ne répond pas aux problèmes de l'emploi et de la précarité croissante et risque d'enfoncer durablement l'Europe dans la crise.

Source : message reçu le 27 février 17h


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Ensemble dans toute l'Europe, résistance !

SUD santé-sociaux

Le peuple grec est le plus durement attaqué par les institutions européennes. Mais des attaques de même nature sont déjà lancées dans de nombreux pays. En Grèce, au Portugal, en Belgique, Italie, Espagne, Grande-Bretagne… grèves nationales et manifestations d'ampleur se sont succédées ces derniers mois. Avec nos partenaires européens, nous dénonçons les accords signés récemment par le patronat et certains syndicats, en Italie, Espagne ou Portugal, car ils organisent la régression sociale, la casse des acquis collectifs des générations précédentes.

Coordonnons-nous au plan européen, renforçons les syndicats qui refusent la résignation et organisent la résistance pour gagner !

Nous participerons aux manifestations du 29 février, parce que nous sommes avec celles et ceux qui refusent les traités européens antidémocratiques que veulent imposer gouvernants, financiers et patrons.

Ces textes ont un dénominateur commun : faire payer toujours plus les salarié-es, les chômeurs/ses, les jeunes, les retraité-es, à coup de salaires bloqués, d'allocations de misère, de conditions de travail détériorées, de précarité généralisée…

Les dernières mesures de Sarkozy renforcent les inégalités, accentuent la pauvreté  La TVA est l'impôt le plus inégalitaire. Sa hausse à travers la TVA antisociale, provoquera une hausse des prix et donc une baisse du pouvoir d'achat, dont les conséquences les plus graves affectent celles et ceux qui ont les revenus les plus faibles.  Les accords dits de « compétitivité », vantés par le gouvernement, exaucent un voeu patronal : piétinant Code du travail et conventions collectives, il s'agit d'imposer aux travailleurs/ses soit une baisse des salaires, soit une augmentation du temps de travail sans rémunération supplémentaire.  Dans cette période de « fin de règne », la majorité de l'Assemblée nationale vote une succession de lois directement dirigées contre nous : loi Warsmann qui permet à l'employeur de modifier à sa guise et sans limite les horaires et l'aménagement annuel du temps de travail en privant les salarié-es de la protection de leur contrat de travail, loi antigrève dans les transports aériens, terrestres et les aéroports, journée d'arrêt-maladie non payée dans la Fonction publique et d'autres entreprises, baisse de l'indemnité journalière des salarié-es malades, création d'un impôt sur les complémentaires santé… Les négociations annuelles obligatoires qui ont lieu dans les entreprises se traduisent dans la quasi-totalité des cas par des propositions patronales aussi lamentables que non discutables … Jusqu'au moment où le rapport de forces change, par l'action collective des salarié-es ; c'est ce que montre de nombreuses grèves locales. Cette résistance sociale se retrouve aussi à travers plusieurs luttes pour l'emploi. Ces deux aspects - emplois et salaires - ne s'opposent pas, au contraire ils sont liés ; tout comme la protection sociale, les conditions de travail, le refus de la précarité, … C'est l'avenir de toute la population locale que défendent les travailleurs.

SUD santé-sociaux appelle les salariés à paticiper aux manifestations intersyndicales, premières initiatives d'un front du refus européen de la régression sociale

P.-S. un préavis de grève national a été déposé pour le 29 février

Source : http://www.sud-sante.org/Ensemble-dans-toute-...


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Le 29 Février 2012 :

Partout en Europe, mobilisons nous contre l'austérité !

CGT Finances Publiques :

Pour une autre répartition des richesses et pour nos revendications, ensemble soyons dans l'action !

Dimanche dernier, à Athènes, ils étaient plus de 100 000 manifestants devant le Parlement grec pour exiger le retrait du nouveau plan antisocial (baisse de salaire, licenciements massifs dans la fonction publique, augmentation des taxes…) et dénoncer le diktat de la TROIKA (Union Européenne, Banque Centrale Européenne et Fonds Monétaire International).

Voté contre la volonté populaire, il s'agit là du septième « Mémorandum » d'austérité et de destruction de services publics, alors que les six premiers, en deux ans à peine, n'ont fait qu'aggraver la situation ! Cette nouvelle attaque est lourde de menaces pour la démocratie et les droits des salariés, pas seulement en Grèce.

Dans la continuité des politiques de casse salariale déjà engagées, le gouvernement espagnol vient d'adopter une réforme du travail démantelant les droits sociaux et détruisant les emplois. A l'appel des deux principaux syndicats, les travailleurs espagnols descendront dans la rue le 19 février.

Dans le sillage de la Grèce, les salariés Portugais sont eux aussi particulièrement frappés par la crise. En échange du plan de sauvetage de l'Union Européenne, le programme de rigueur envisagé prévoit des hausses d'impôts, une baisse des prestations sociales et plus de flexibilité du travail. En réaction, 300 000 personnes ont manifesté samedi dernier à Lisbonne. D'autres rassemblements sont prévus le 29 février prochain. En France aussi, nous en sommes au deuxième plan d'austérité. La perte du triple A pourrait constituer un alibi pour en justifier un troisième. Ne nous y trompons pas ! La Grèce et le Portugal servent de test. En l'absence de réaction, la France sera la prochaine sur la liste.

Partout en Europe, des mouvements de résistance se construisent. Le 29 février, la Confédération Européenne des Syndicats appellent les salariés à se mobiliser massivement contre les plans d'austérité. Par l'impulsion d'actions de grève, d'initiatives et de manifestations, les organisations de la CGT ont décidé de tout mettre en œuvre pour assurer la réussite de cette journée et refuser de subir plus longtemps les réformes régressives gouvernementales menées au nom de la sauvegarde des intérêts des marchés financiers.

Plus que jamais la mobilisation reste à l'ordre du jour !

A la DGFIP, cela implique de poursuivre et de multiplier les initiatives de terrain et unitaires assurant l'expression et la participation la plus large des personnels. Au niveau Fonction Publique, en réponse aux nouvelles menaces sur les garanties statutaires, d'éclatement des rémunérations et de remise en cause forte de la place de l'Etat, les mêmes efforts militants doivent être déployés.

Enfin, les enjeux générés par les plans d'austérité, menés dans toute l'Europe, nécessite la construction de puissants mouvements de luttes unissant les salariés du privé et du public autour de leurs revendications communes s'agissant de l'emploi, des salaires et des conditions de travail notamment.

C'est pour ces raisons que la CGT Finances Publiques s'inscrit dans cette journée de grève et de mobilisation du 29 février. Elle appelle les personnels à se mobiliser, à décider de la grève et à participer aux manifestations interprofessionnelles qui sont organisées sur tout le territoire.

29 février:Partout en Europe, mobilisons nous contre l'austérité

Source : http://www.financespubliques.cgt.fr/CGT-Finan...


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Tract CGT Fonction Publique :

Le 29 février, avec les salariés de toute l'Europe, agissons !

La CGT, ses organisations professionnelles et territoriales appellent tous les salariés à se mobiliser dans l'unité syndicale la plus large, à décider de la grève sur les lieux de travail et à participer aux manifestations interprofessionnelles qui sont organisées sur tout le territoire dans le cadre de la journée européenne de mobilisation à l'appel de la Confédération européenne des syndicats (CES) le 29 février 2012. Cette journée fait également l'objet d'un appel unitaire à la mobilisation CGT CFDT FSU UNSA Solidaires.

... (voir PJ)

Source : http://www.financespubliques.cgt.fr/Tract-CGT...