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jeudi 18 octobre 2007 à 14h30

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journée de grève et manifestation - SNCF, RATP, EDF, Éducation ... - retraites et service public

pour la manifestation sur les retraites du jeudi 22 mai voir ici


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Journée de grève et manifestation

Pour la défense des retraites, du service public et contre la politique antisociale de Sarkozy.

À Paris, la manifestation aura lieu à 14h30 de République à Bastille (ou Nation).
Source : lieu et heure de la manifestation confirmé par téléphone au près de la CGT
Source : http://www.alternativelibertaire.org/spip.php...


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Appel unitaire des UD de paris CGT, FO, FSU et Solidaires pour la journée d'actions interprofessionnelle du 18 octobre

Ensemble - Salariés du privé, de la fonction publique, des services publics, chômeurs et retraités

Il faut se mobiliser, il faut agir !

GREVE ET MANIFESTATION
Jeudi 18 octobre 2007

Les annonces du Président de la République et du gouvernement de ces dernières semaines sont sans ambiguïté. Il s’agit de faire passer « à marche forcée » la politique de réduction du coût du travail et des déficits publics exigée par l’Union européenne et de satisfaire les exigences du MEDEF.

Cette politique pénalise exclusivement ceux qui vivent de leur force de travail, qu’ils soient salariés du privé ou du public.

Les attaques contre les régimes spéciaux ont pour finalité de créer les conditions d’une offensive contre l’ensemble des régimes des retraites en 2008. elles ne régleront rien quant au financement et à la pérennisation des systèmes de retraite en France.

Il s’agit en s’attaquant d’abord aux régimes spéciaux de retraite, de monter les salariés les uns contre les autres, pour surtout préparer une dégradation généralisée des retraites. Il s’agit d’augmenter pour tous le nombre d’années de cotisations pour partir à la retraite (41 en 2012 conformément à la loi Fillon puis 42 et plus après).

Il s’agit aussi de refuser de prendre en compte la pénibilité croissante du travail pour de plus en plus de salariés du public comme du prive.

Il s’agit de mettre un terme au système de santé fondé sur la solidarité entre bien portants et malades et de mettre en place, en introduisant les franchises, un système fondé sur le principe de l’assurance individuelle et privée. Cette annonce de réforme en profondeur du système de santé est d’autant plus choquante qu’elle survient après l’annonce de la cour des comptes, d’un manque à gagner de 37 milliards d’€ pour le régime général de sécurité sociale en 2005, du fait des exonérations de cotisations sur certains revenus versés aux dirigeants d’entreprise. Pendant ce temps, ce sont tous les salariés, les retraités, les privés d’emploi qui payent la facture !

Dans le secteur public :

  • Dans la fonction publique, l’Etat a programmé la suppression de 22 700 emplois dont la moitié dans l’Education Nationale, et le démantèlement des missions et statuts.
  • La direction de la SNCF annonce des fermetures de gares, une réorganisation du fret qui menace 7 000 emplois.
  • La direction d’EDF-GDF fixe à 1 sur 2 le remplacement des départs en retraite. 5 000 postes sont menacés de disparition.
  • La direction de la RATP annonce, pour le seul Métro, 500 emplois en moins entre 2008 et 2012 après la suppression de 900 emplois ces 4 dernières années sur l’ensemble de la RATP.
  • A la Poste dans les services courrier et les bureaux de poste à Paris c’est 1800 emplois en moins de 3 ans soit 12 % de l’effectif !

Dans le secteur privé :

  •  L’emploi stable et qualifié régresse ; à l’inverse, l’emploi précaire explose sous l’effet conjugué des politiques de sous-traitance et du recours à l’intérim.
  • Les salariés du privé subissent une déqualification de leur emploi et leurs conséquences sur le niveau des salaires.
  • Les conditions de travail s’aggravent soit par le biais de l’augmentation de la productivité, soit par les suppressions d’emplois.

Il s’agit d’organiser la mobilité, la précarité et les licenciements en modifiant le contrat de travail à durée indéterminée et en permettant aux patrons de licencier sans motif. La fusion annoncée ANPE/UNEDIC a pour finalité de faciliter ces objectifs. Elle met en cause le service public de l’emploi (ANPE) et la gestion paritaire du régime d’Assurance Chômage.

Il s’agit de poursuivre la politique de privatisation. Nous ne pouvons accepter la fusion GDFSuez qui conduira à une augmentation du prix du gaz. De même que nous n’acceptons pas les privatisations rampantes à la SNCF et à la RATP, ni les licenciements et les fermetures d’entreprise.

Dans le même temps, les marges et bénéfices des grandes entreprises s’envolent : 100 milliards en 2006 par les 40 plus grandes entreprises françaises, redistribués entre des actionnaires et des grands dirigeants qui par ailleurs se rendent coupables comme à EADS de « délits d’initiés »

Ensemble, salariés du secteur privé, agents de la fonction publique et du secteur public… pour l’augmentation des salaires, la défense de l’emploi et des missions de service public, de la protection sociale et des retraites, il faut agir pour :

  • L’augmentation des salaires, des pensions et des minima sociaux le maintien du SMIC, de l’emploi qualifié, des contrats de travail en CDI. Pour cela, nous exigeons l’ouverture, dans le public comme dans le privé, de négociations salariales.
  • Le maintien des régimes spéciaux de retraite et des droits qui leurs sont attachés. Aucun allongement de la durée de cotisations.
  • L'Abrogation des mesures Balladur et Fillon
  • Le maintien de la retraite de base à 60 ans à taux plein pour tous,
  • Le maintien d’un réel service public de l’emploi et du système d’assurance chômage et contre la fusion ANPE/UNEDIC,
  • La reconnaissance du CDI comme le contrat de travail de référence et contre la précarité,
  • Le maintien de la Sécurité Sociale solidaire et égalitaire, retrait des franchises, non à la TVA sociale,
  • L’annulation des suppressions de postes dans le secteur public et la fonction publique, remplacement des départs en retraite et création des postes nécessaires
  • L’arrêt des licenciements dans le privé,
  • Contre la recodification du code du travail
  • Contre le projet de fusion des impôts et du trésor

Tract format PDF:


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Affiche de la CNT  au format PDF:


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Les syndicats en ordre de bataille


Mobilisation . Six fédérations de cheminots appellent à la grève le 18 octobre. À la RATP et dans l’énergie, les syndicats n’écartent pas de se joindre à cette journée.

Les attaques du gouvernement contre les retraites et la fonction publique suscitent de premiers appels à la mobilisation de la part des organisations syndicales. Ainsi mercredi, à la SNCF, cinq des huit fédérations de cheminots (CGT, SUD, FO, CFTC et CFE-CGC), rejointes hier par la CFDT, ont appelé les agents de l’entreprise publique « à la grève pour agir et peser sur l’avenir des retraites, la situation du fret SNCF et l’emploi ». « Nous ne sommes pas entendus de la part de la direction ni du gouvernement. Une intervention des cheminots est nécessaire pour imposer d’autres choix beaucoup plus porteurs et en rapport avec l’intérêt général », a expliqué Didier Le Reste, secrétaire général de la CGT, avant de souhaiter que « cette journée nationale de grève puisse aussi aider à construire des mobilisations interprofessionnelles ». Le mouvement des cheminots prévu le 18 octobre prochain devrait prendre la forme d’« une grève carrée » (grève de 24 heures). Ses organisateurs doivent en décider « prochainement ». Les deux fédérations UNSA et FGAAC, qui ne sont pas pour l’instant parties prenantes de cette journée d’action, n’ont cependant pas écarté d’y participer. Elles réservent leur décision jusqu’à la réunion de leurs instances nationales.

attaque contre Les garanties sociales

Réunies mercredi soir, les fédérations CGT, CFDT, CFE-CGC, CFTC et FO de l’énergie ont dénoncé « une parodie de concertation sur la base d’un dossier ficelé (la suppression des régimes spéciaux - NDLR) » et ont condamné « avec fermeté le fond et la forme de l’attaque sans précédent du président de la République sur les garanties sociales des salariés ». Dans leur communiqué, les organisations syndicales des industries électriques et gazières (IEG) « n’excluent pas de s’associer à une journée d’action nationale ». Elles devraient se rencontrer à nouveau « dans les jours qui viennent pour arrêter un processus de mobilisation et d’action avec des temps forts à la hauteur des enjeux ». Selon le porte-parole de la CGT énergie, Maurice Marion, les fédérations de l’énergie « n’excluent pas d’appeler à la grève ». Pour sa part, FO énergie appelle à la grève le 18 octobre « contre la suppression des régimes spéciaux et la fusion entre GDF et Suez ».

À la RATP, où SUD appelle d’ores et déjà à la grève le 18 octobre, les organisations syndicales qui se sont réunies hier matin n’écartent pas une mobilisation prochaine. Elles « travaillent à des initiatives dans une démarche cohérente avec les autres grands secteurs concernés. Aucune initiative, dont le recours à une ou plusieurs journées d’action, n’est exclue », ont ainsi indiqué la CGT, l’UNSA, la CFDT, les Indépendants, FO, SUD, la CFE-CGC et la CFTC. Le responsable de la CGT (majoritaire à la RATP), Cyril Brown, a précisé que les attaques du gouvernement « nécessitent que tous les secteurs concernés se fédèrent, portent une réponse au plus haut niveau. Nous ne voulons pas faire grève comme le voudrait Sarkozy pour défendre nos prétendus privilèges, mais souhaitons un rassemblement plus large ».

Enfin, dans la métallurgie la CGT appelle les salariés à se mobiliser lors d’une manifestation le 13 octobre prochain pour « faire reconnaître la pénibilité, le droit à la santé au travail et aux départs en retraite anticipé ».

Pierre-Henri Lab



Source : http://www.humanite.fr/2007-09-21_Politique_L...


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Retraites, service public : ils veulent tout casser. RESISTANCE !

TOUS EN GREVE LE 18 OCTOBRE !

Les coups pleuvent sur les travailleurs du public et du privé :

-« service public 2012 » c’est d’abord 23000 suppressions de postes en 2008, puis 50 à 60000 suppressions par an dès 2009 ! C’est le recrutement par CDI (droit privé) au lieu du statut de fonctionnaire.

-  passage « non négociable » aux 41 ans de cotisation pour tous dès 2009 il est déjà prévu de passer à 42 ans en 2013 ! Après la volonté de casser les régimes spéciaux de retraites, où s’arrêteront-ils ?

-  instauration des franchises médicales pour tous. Mais les salariés financent déjà l’assurance maladie par leurs cotisations sociales ! Ils veulent nous faire payer 2 fois !

Retraites, Franchises médicales, C’est notre salaire qu’ils attaquent !

Les attaques du gouvernement sont très cohérentes. C’est le programme du MEDEF !

*la protection sociale

La Sécu est financée par les cotisations des salariés et des patrons. Elle verse directement des prestations aux travailleurs retraités (les Pensions), aux travailleurs malades (remboursement des soins et des médicaments), aux travailleurs au chômage (allocation). Les cotisations font partie de notre salaire : c’est le salaire socialisé. Cet argent échappe aux capitalistes qui ne rêvent que d’une chose : mettre la main dessus pour le placer en bourse et faire encore plus de profits.

Le nombre d’annuités pour la retraite augmentent mais Fillon sait bien que les salariés ne pourront pas travailler 41, 42 ans et . Ils n’auront donc pas leur retraite à taux plein et vont être encouragés à souscrire à des fonds de pension (retraites) et à des assurances privées (maladie), avec le coût et le risque que l’on sait (ENRON aux Etats-Unis). En même temps, les patrons sont exonérés de cotisations sociales ( de 200 milliards d’€ depuis 1991) ! Eux payent moins, nous, nous payons plus ! Ainsi, les travailleurs vont travailler plus pour que les patrons gagnent plus !

Postes supprimés, services publics privatisés Ca ne peut plus durer !

*les services publics Devant assurer un service égalitaire et gratuit pour tous, les services publics ne « rapportent » rien. Donc d’abord, le gouvernement fait des « économies » en supprimant massivement des postes au mépris des usagers (écoles, collèges hôpitaux, etc.). Pour pouvoir licencier plus facilement, il ouvre le recrutement en CDI. On sait ce que ça a signifié à France Telecom et à La Poste. On prévoit aussi d’introduire la culture du résultat et la promotion au mérite. En fait, on prépare clairement la privatisation !

De l’argent pour la Sécu il y en a ! Dans les poches du patronat !

D’autres solutions existent :
-  arrêter d’exonérer les employeurs de cotisations et augmenter les cotisations sociales patronales en fonction des besoins de la Sécu. Le seul remboursement des exonérations patronales depuis 1991 (plus de 200 milliard d’€) ne comblerait-il pas le « trou de la Sécu » ? Mais le gouvernement des plus riches ne va pas s’attaquer aux profits des patrons !

C’est à nous de re-gagner ce que nous avons perdu !

En 1995, les cheminots, les postiers, les enseignants et les salariés du privé ont bloqué par une grève massive la casse de la Sécu, prévue par le plan Juppé. En 2006, les étudiants, les lycéens et les salariés ont imposé par l’occupation et par la grève l’abandon du Contrat Première Embauche.

La force des travailleurs c’est la grève !

Ils attaquent sur tous les fronts, répondons-leur TOUS ENSEMBLE ! Faisons du 18 octobre la première étape d’une mobilisation générale contre le gouvernement des patrons !

Nous nous battons pour :

*le retour aux 37,5 annuités pour tous Public-Privé

*l’arrêt des exonérations des cotisations patronales et le remboursement des sommes exonérées depuis 1991

*la création de postes à la hauteur des demandes exprimées par les établissements

*l’arrêt du recours à l’emploi précaire et la titularisation sans condition de tous les personnels précaires

*l’abandon des franchises médicales


(GIF)


Source : http://www.cnt-f.org/fte/article.php3?id_arti...


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Grève du 18 octobre : ça se précise


La RATP prendra part à la mobilisation nationale pour la défense des régimes spéciaux.

Les agents de la SNCF (1) qui sont appelés à se mobiliser par les fédérations de cheminots CGT, CFDT, SUD, FO, CFTC et CFE-CGC le jeudi 18 octobre prochain «contre la réforme des régimes spéciaux, pour l’emploi et l’avenir du fret», ne seront vraisemblablement pas les seuls à cesser le travail. La CGT et FO Énergie d'EDF et GDF appellent également à faire grève ce jour-là «contre la réforme des régimes spéciaux et la casse du service public avec la fusion de Gaz de France avec Suez». Et aujourd'hui, six syndicats de la RATP sur huit (CGT, CFDT, FO, CFTC, Indépendants et SUD) se joignent au mouvement.

«Les salariés du secteur privé et de la Fonction publique sont les véritables victimes des réformes successives depuis plus de 20 ans. Prétexter aujourd'hui de "l'équité" et de la "justice sociale" au moyen d'un alignement des régimes par le bas contribue à poursuivre la logique de destruction du modèle social français», expliquent les organisations qui «n'excluent pas de poursuivre cette mobilisation au travers d'autres journées d'action [...] et de grèves.»

On n'attend plus que les fonctionnaires...

(1) La SNCF a annoncé un bénéfice net de 595 millions d'euros pour le premier semestre 2007, contre 101 pour la même période en 2006. Après, on ose nous dire qu'il n'y a pas d'argent pour assurer les retraites des salariés !


Source : http://www.actuchomage.org/modules.php?op=mod...


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Appel intersyndical à la grève le 18 octobre

Académie de Créteil Unité face aux attaques contre la Fonction Publique et les Services Publics (retraites, statuts, postes, salaires...) : APPEL A LA GREVE JEUDI 18 OCTOBRE 2007

Académie de Créteil - 27 septembre 2007

SNES-FSU, SNFOLC, CGT-Educ’Action, SNETAA-EIL, SUD-Education, SNUEP-FSU, SUNDEP, SNPEFP-CGT, CNT

Unité face aux attaques contre la Fonction Publique et les Services Publics (retraites, statuts, postes, salaires...) : APPEL A LA GREVE JEUDI 18 OCTOBRE 2007

Les déclarations du président Sarkozy marquent une offensive supplémentaire et généralisée contre les salariés et ouvrent une période cruciale pour la défense des acquis de tous les salariés, ceux du public et ceux du privé. Les discours du Président sur la sécurité sociale et les retraites, et sur la « refondation » de la fonction publique signifient :
-  la remise en cause des régimes spéciaux : le gouvernement entend opposer les salariés entre eux et cherche ainsi à faire passer pour l’ensemble des salariés la remise en cause de la retraite à 60 ans et l’allongement de la durée de cotisation à 42 ans dès 2008.
-  la suppression de 22 000 emplois de fonctionnaires pour 2008, dont 11 200 dans l’Éducation, qui s’ajoutent aux 25 000 postes supprimés ces 5 dernières années, aux conditions de travail de plus en plus difficiles avec des classes surchargées, des postes non pourvus, des affectations sur deux ou trois établissements et un développement insupportable de la précarité.
-  la remise en cause du statut de la fonction publique : recrutement de fonctionnaires en contrats de droit privé, « pécules » pour partir, non remplacement d’un fonctionnaire sur deux, salaires individualisés et au « mérite ».
-  l’amorce de la privatisation de la Sécurité sociale : instauration, entre autre, d’une assurance individuelle pour les personnes âgées et de franchises médicales supplémentaires.
-  le maintien du blocage des salaires, une nouvelle loi sur l’immigration aggravant encore le regroupement familial, l’instauration d’un test ADN, la poursuite des expulsions des sans papiers...

Les organisations syndicales signataires s’opposent totalement à ces mesures destructrices et dénoncent le discours sur l’équité qui n’est que la couverture d’un alignement systématique par le bas et le refus de nouvelles garanties et avancées sociales. Elles refusent toute tentative d’opposer les salariés du régime général à leurs collègues des régimes spéciaux ou les travailleurs du public à ceux du privé. Les organisations syndicales de l’académie de Créteil demandent une nouvelle fois au recteur de Créteil et au gouvernement satisfaction des revendications des personnels dans les établissements qu’elles lui ont à plusieurs reprises transmises concernant la rentrée 2007 : rétablissement des 723 postes supprimés en cette rentrée dans l’académie de Créteil, création des classes et postes nécessaires ; elles apportent leur soutien aux établissements dont plusieurs ont dû avoir recours à la grève pour obtenir des moyens et la nomination de personnels manquants.

Le retrait du CPE et l’abrogation du décret de Robien montrent que la mobilisation dans l’unité peut faire reculer le gouvernement. La défense des régimes spéciaux, la défense de nos retraites, de nos statuts, c’est une bataille cruciale pour tous les salariés.

Les fédérations de cheminots (FO, CGT, CFTC, Sud Rail, CGC) appellent à la grève le 18 octobre pour la défense des régimes spéciaux de retraites et de pensions, et le retour aux 37,5 annuités pour tous. Les fédérations de l’énergie FO et CGT également qui s’opposent en plus à la privatisation Fusion GDF-SUEZ. Les organisations syndicales de l’académie de Créteil soussignées, se prononcent pour que le 18 octobre soit une journée de grève et de manifestation de l’ensemble de la fonction publique et des secteurs privés.

Les organisations syndicales de l’académie de Créteil soussignées, appellent les personnels de l’Éducation Nationale à la grève JEUDI 18 OCTOBRE 2007 :
-  pour le retour aux 37,5 années pour tous à taux plein, public-privé, pour la retraite à 60 ans maximum, contre tout nouvel allongement de la durée de cotisation, pour la défense des régimes spéciaux et du code des pensions civiles et militaires pour les fonctionnaires.
-  pour le maintien du statut de la fonction publique et des services publics, pour l’arrêt des suppressions de postes de fonctionnaires et dans l’éducation, pour le réemploi et la titularisation de tous les précaires, pour les créations de postes nécessaires au service public.


Source : http://www.cnt-f.org/fte/article.php3?id_arti...

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/3719