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mardi 4 mars 2008 à 19h

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Les universités populaires 1899-1914

Cycle de l'université Populaire de Saint Denis sur "L'éducation Populaire"

avec Lucien MERCIER

Suite à l’Affaire Dreyfus les intellectuels dreyfusards souhaitent participer à l’éducation du peuple. Très vite, Gabriel Séailles, professeur à la Sorbonne, et Georges Deherme, ouvrier anarchiste, mettent sur pieds des causeries « savantes » connues aujourd’hui sous le nom d’Universités populaires. Après une présentation historique, nous évoquerons l’actualité des UP, celle de Saint-Denis qui démarre, celles de Caen et d’ailleurs.

Lucien Mercier est l'auteur de "Les universités populaires 1889-1914, éducation populaire et mouvements ouvriers au début du siècle", Editions de l'Atelier, 1986.


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"L'éducation Populaire"

Cycle de l'université Populaire de Saint Denis

Organisateur
Hugues LENOIR

MARDI 4 Mars 19h00 - Les universités populaires 1899-1914

avec Lucien MERCIER

Suite à l’Affaire Dreyfus les intellectuels dreyfusards souhaitent participer à l’éducation du peuple. Très vite, Gabriel Séailles, professeur à la Sorbonne, et Georges Deherme, ouvrier anarchiste, mettent sur pieds des causeries « savantes » connues aujourd’hui sous le nom d’Universités populaires. Après une présentation historique, nous évoquerons l’actualité des UP, celle de Saint-Denis qui démarre, celles de Caen et d’ailleurs.

Lucien Mercier est l'auteur de "Les universités populaires 1889-1914, éducation populaire et mouvements ouvriers au début du siècle", Editions de l'Atelier, 1986.

MARDI 11 Mars 20h00 - Syndicalisme et formation

Le syndicalisme révolutionnaire a, depuis son origine, considéré l’éducation comme un levier essentiel de l’émancipation sociale et économique des classes ouvrières. De la Première Internationale aux Bourses du travail autour de Pelloutier à la fondation de la CGT-SR, l’éducation est au cœur du débat syndical. Après un tour d’horizon à partir de quelques textes, nous évoquerons la place que doit occuper aujourd’hui l’éducation dans la construction d’une organisation anarcho-syndicaliste.

MARDI 18 Mars 19h00 - L'éducation libertaire

L’éducation libertaire tient une place importante dans la littérature anarchiste depuis plus d’un siècle. Nombreux furent les auteurs qui en définirent les principes et en décrivirent les expériences. Cette soirée sera l’occasion d’évoquer Francisco Ferrer, Paul Robin, Sébastien Faure et bien d’autres. Un débat sur l’actualité des principes de l’éducation libertaire préparera la soirée du 25 mars.

MARDI 25 Mars 19h00 - L'éducation libertaire en actes

Après avoir évoqué les expériences anciennes, quelles sont les pratiques éducationnistes et libertaires en actes ? Afin de mieux les connaître et de réinterroger la validité des principes de l’éducation libertaire, la parole sera donnée aux acteurs, instituteurs ou institutrices Freinet, aux élèves et professeur-e-s du Lycée autogéré de Paris et aux militant-e-s de la Fédération de l’Education de la CNT.

Source : http://upop-stdenis.1901.org/conf_mars_08_1.h...


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Mode d'emploi de la Dionyversité

POUR participer

Une université populaire est ouverte à tous.
Cela signifie que n'importe qui peut assister aux conférences de son choix, sans condition d'âge, ni de revenu, ni de domicile, ni de scolarité, ni de nationalité, ni d'opinion...

Il n'y a pas besoin de s'inscrire : ni avant ni pendant les conférences. Pas besoin non plus d'adhérer à une quelconque association, ni de décliner votre identité. Vous vous rendez directement sur le lieu annoncé, aux séances de votre choix.
Aucun niveau d'études ou de connaissances n'est requis, mais savoir lire et avoir l'esprit ouvert s'avèreront très utiles.

Les conférences et toutes les activités de la Dionyversité sont gratuites. Les permanents et les conférenciers contribuent à ce projet de façon enthousiaste mais bénévole. Bien sûr, nous ne refusons pas les soutiens financiers individuels - quelques Euros suffisent - qui nous permettent d'assumer les coûts inévitables de communication et de couvrir les frais des intervenants.
Pour les spectacles, un "chapeau" est mis à la disposition et libre appréciation du public, et les revenus vont intégralement aux artistes.

Cette université ne donne droit à aucun diplôme. La seule "récompense" est le plaisir de découvrir, d'apprendre, de comprendre, de partager... et de faire découvrir à son tour.
Nous ne délivrons même pas de certificat de présence...

FORME des cours

Les cours se présentent généralement sous la forme d'une série de 4 séances - ou conférences -, au rythme d'une par semaine. Elles sont assurées par un "spécialiste" de la question ou son invité, et suivies d'un débat avec vous.
Les séances peuvent avoir plusieurs formes : exposé traditionnel, étude de cas, atelier pratique, projection de film commentée, etc.

Une bibliographie vous est communiquée lors de la séance et sur le site pour vous permettre de préparer et/ou d'approfondir les thèmes abordés.

On peut assister à une seule conférence d'un cycle. Elles sont en effet conçues pour traiter chacune un thème du cours, souvent avec un intervenant spécifique. Mais ce découpage n'est pas toujours possible, et pour profiter pleinement des complémentarités et des recoupements entre séances, il vaut mieux ne pas en laisser passer...
La durée totale de chaque séance, débat compris, est de 2 heures environ, sans coupure publicitaire...

Les séances se tiennent à la Bourse du Travail de St-Denis, et débutent à 19 heures, sauf indication contraire. Vérifiez toujours sur le site web les jours précédant la date prévue. Si vous nous communiquez une adresse e.mail nous pouvons vous prévenir de toute modification de lieu, d'horaire ou de programme.

Prévoyez d'arriver sur place 5 minutes avant le début pour ne rien manquer et ne pas déranger les autres.
Et bien entendu, une fois en place, éteignez votre portable !

Source : http://upop-stdenis.1901.org/mode_d'emploi.ht...

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/4971