thème : éducation
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mardi 6 mai 2008 à 14h

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manifestation et blocages dans les lycées - journée nationale à l'appel des lycéens

pour la manifestation du jeudi 15 mai, voir ici


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Journée nationale de manifestations lycéennes

Manifestation à Paris, trajet / parcours :

départ 14h Place de la République en Direction de Nation

Contre les suppressions de postes dans l'enseignement.

Une assemblée générale ouverte à tous aura lieu après la manifestation (voir ici).

SUD-étudiant appelle les universités à se joindre aux lycéens contre la diminution des moyens (voir communiqués ci-dessous).

L'AG-IdF et plusieurs syndicats ont appelé les personnels de l'éducation à se joindre aux lycéens lors de cette manifestation.

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/5503
Source : http://lecrc.forumactif.fr/organisation-d...
Source : http://lcr18.free.fr/breve.php3?id_breve=498
Source : http://cgteduc93.free.fr/spip.php?breve554


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Liste des manifestations du mardi 6 mai

- Le Mans | 10h - Place de la République
- Valenciennes | 10h - Place d'Armes
- Lyon | manifestation mardi 06 mai 10h30 place terreau à l'appel de sud lycéen, unl, cnt, sud etudiant, sud educ, fse, lcr, jc
- Strasbourg | 14h Place Kléber
- Dijon | 14h - Place de la Libération
- Saint-Dié-des-Vosges | 14h - Place de la Cathédrale
- La Rochelle | 14h - Place de Verdun
- Angoulême | 14h30 - Champ de Mars
- Limoges | 10h - Place de la République
- Nantes | 17h - Place Bretagne
- Rouen | 10h - Cours Clémenceau
- Albi | 14h - Place du Vigan
- Orléans | 10h30 - Place de la Cathédrale
- Grenoble| 10h - Gare
- Saint-Dié-des-Vosges | 14h - Place de la Cathédrale
- Epinal | 14h - Place de la Préfecture
- Marseille | 14h - Vieux Port
- Dieppe | 8h - Lycée Jean Ango
- Le Havre | 9h30 - Place de l'Hôtel de Ville
- Flers | 14h - Lycée Jean Guehenno
- Avignon | 14h - Gare Centre
- Caen | 14h30 - Place du Théâtre
- Reims | 14h30 - Place d'Erlon, fontaine de la solidarité
- Toulouse | 14h - Place du Capitole
- St-Malo | 14h - Square lycée Jacques Cartier
- Besançon | 14h - Place de la Révolution
- Alençon | 14h - Départ des lycées Alain, Mézen et Marguerite de Navarre
- Poitiers | 14h - Place d'armes
- Annecy | 14h - Préfecture
-Paris | 14h - Place de la République
- Aix en Provence | 14h - Rotonde
- Valence | 13h30 - Place du Champ de Mars
- Chartres | 14h30 - Place des Halles [mairie]

Source : http://reseaudesbahuts.lautre.net/article.php...


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Journée d'action lycéenne

La Coordination Nationale Lycéenne appelle à faire du MARDI 6 MAI une journée de grève et de manifestation nationale. De plus, elle invite également les lycéens à bloquer leurs lycées ce jour là partout où c'est possible afin d'envoyer un signal fort au gouvernement.

Source : communiqués SUD ci-dessous
Source : communiqué de la coordination nationale lycéenne du 19 avril ci-dessous
Source : http://cgt.educaction94.free.fr/spip.php?brev...


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Appel de la coordination nationale lycéenne de paris du samedi 19 avril 2008

Mardi 15 et Jeudi 17 avril, des dizaines de milliers de lycéens et de profs manifestaient à Paris et des milliers dans des villes de province. Une nouvelle fois nous avons été encore plus nombreux que les manifs précédentes et le mouvement contre la casse de l'Education Nationale prend réellement de l'ampleur. Darcos refuse de céder pour l'instant, il faut donc amplifier la mobilisation et continuer à massifier les manifestations.

L'auto-organisation des lycéens en Assemblée Générale, comme c'est déjà le cas dans de très nombreux lycées, est le seul moyen pour toucher le plus d'élèves possible sur chaque établissement mobilisé. Mais se réunir en AG permet surtout d'organiser la mobilisation sur son lycée, de débattre autour des revendications, de préparer les manifs, et surtout de discuter des suites à donner au mouvement.

Aujourd'hui il est urgent que nous, lycéens représentants de 30 lycées sur l'île de France, et de plusieurs lycées de provinces (dont notamment des lycées de Toulouse, de Lyon, d'Amiens ...) la France, défendions les revendications suivantes :

Rétablissement des postes supprimés et transformation des heures supplémentaires en heures postes ; pas plus de 25 élèves par classe ; maintien du BEP et de la carte scolaire ; rétablissement des filières, options et classes supprimés ; embauche des personnels nécessaires au bon fonctionnement d'une éducation de qualité ; régularisation des élèves sans-papiers ; non application du rapport Pochard.

La liste est longue, au même titre que la liste des attaques gouvernementales contre le service public d'éducation et contre les droits des lycéens. Toute cette politique a des conséquences sur les professeurs mais aussi sur nos conditions d'étude et d'enseignement : Des classes surchargées, des heures de demi groupes en moins, des options et langues de plus en plus rares, parfois des filières et des classes fermées, comme cela a été annoncé dans de nombreux lycées.

Pour les profs : recours accru aux heures supplémentaires, plus de difficultés pour faire cours dans des classes toujours plus surchargées, moins de temps pour préparer les cours et corriger les copies. Beaucoup d'entre eux vont devoir partager leur travail entre plusieurs lycées ou enseigner plusieurs matières…

De plus, et face à la représsion très forte qui tente de mettre fin au mouvement, la coordination nationale lycéenne demande l'arrêt des poursuites judiciaires contre tous les lycéens interpellés lors des manifestations ou devant leur lycée. Nous demandons également l'arrêt de toutes les sanctions administratives dans chaque établissement contre les lycéens mobilisés.

C'est l'ensemble des jeunes et des personnels enseignants et non-enseignants qui sont attaqués par les réformes du gouvernement.

Pour celà, nous devons répliquer par un mouvement de grève massif dans l'ensemble de l'Education Nationale. Ce mouvement serait le premier pas vers un mouvement de tous les jeunes et de tous les salariés qui pourrait faire plier le gouvernement Sarkozy sourd aux protestations isolées.

C'est pour cette raison que nous invitons tous les lycéens mobilisés à s'organiser et à lutter aux côtés leurs profs et des parents d'élèves. Les manifestations doivent continuer et se multiplier car elles permettent de populariser le mouvement et de l'étendre en encourageant plus de lycéens, de profs et de parents d'élèves à y participer.

Pour toute ces raisons, nous appelons tous les lycéens en lutte à participer à la prochaine Coordination nationale lycéenne, le samedi 3 mai en région parisienne.

Nous appelons tous les lycéens à manifester massivement dans toute la France le mardi 29 avril prochain et à rejoindre les travailleurs lors des manifs du 1er mai.

Mais surtout, la Coordination appelle à faire du MARDI 6 MAI une journée de grève et de manifestation nationale. De plus, elle invite également les lycéens à bloquer leurs lycées ce jour là partout où c'est possible afin d'envoyer un signal fort au gouvernement.

TOUS ENSEMBLE, FAISONS RECULER LE GOUVERNEMENT !

A diffuser au maximum

Source : liste réseau des bahuts, reçu le 24 avr 18:14


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On continue ! Personnels de l'éducation nationale, lycéenNEs, étudiantEs, parents !

Communiqué fédéral SUD du 17 avril 2008

Les journées de mobilisation se succèdent et ne voient pas baisser la mobilisation des lycéennEs, des personnels et des parents face à la politique de casse de Darcos/Sarkozy. Encore 40000 personnes dans les rues parisiennes le mardi 15 avec pour la première fois la jonction des écoles élémentaires et des collèges et lycées et le 17 avril.EnseignantEs/non-enseignantEs du premier comme du second degré avec les lycéenNes poursuivent leurs actions que ce soit en manifestant, en bloquant les établissements scolaires, en se coordonnant à l'image de ce qui se passe avec l'AG Ile-de-France des établissements ou la coordination des lycéens d'Ile-de-France.Face à cette mobilisation, le gouvernement répond par le mépris et la répression avec des interventions policières dans les établissements bloqués et dans les manifestations. Ce ne sont ni les coups de matraque, ni les arrestations, ni la criminalisation des lycéenNes comme des enseignantEs qui nous feront taire ! Premier petit succès : notre camarade Rodolphe Juge mis en examen lors d'une manifestation parisienne a vu son procès reporté à la rentrée 2008 ! Nous serons là pour le soutenir.

Les personnels mobilisés et les lycéenNes de la zone C en action quotidiennement depuis plusieurs semaines vont maintenant être relayés par les académies de la zone A et B. La Fédération Sud-éducation dépose des préavis renouvelables. Le 29 avril sera une journée de grève à laquelle la Fédération Sud-éducation appelle. Dès le 6 mai, les lycéenNEs appellent à une nouvelle journée d'action. La Fédération Sud-éducation s'associe à cet appel et demande aux personnels, aux lycéenNEs et aux parents de se coordonner partout en AG car c'est touTes ensemble qu'on peut gagner ! Dès à présent, la Fédération Sud éducation fera du 15 mai, à l'occasion de la journée d'action éducation nationale, une journée de grève et de mobilisation. Mais une nouvelle journée ne suffira pas. La Fédération Sud éducation appelle à la construction de la reconduction de la grève le lendemain du 15 mai sur la base des revendications des personnels, des lycéenNEs et des étudiants.

Nous continuons à refuser :

  • - Dans tous les secteurs, les suppressions de postes et les heures supplémentaires.
  • - La suppression à terme de tous les BEP et la généralisation du bac pro en 3 ans.
  • - Dans le primaire, les nouveaux programmes, l'annualisation du temps de travail des enseignants, les stages de remédiation qui stigmatisent les élèves en difficulté et remettent en cause le travail du RASED et la transformation des écoles en EPEP avec des super-directeurs.
  • - La casse de l'école publique et des statuts des personnels qui découlent du rapport Pochard et de son livre blanc avec l'augmentation et de l'annualisation du temps de service des fonctionnaires, le leitmotiv libéral du « travailler plus pour gagner plus » et la fin du service public.

Nous exigeons :

  • - La création de tous les postes nécessaires dans le premier et le second degré et à l'université (profs, vie scolaire, orientation, médicaux, sociaux, TOS, remplacement, renforcement des moyens des RASED…)
  • - L'augmentation des salaires pour touTEs et la réduction du temps de travail pour l'ensemble des catégories de personnel.
  • - La titularisation des précaires sans condition de nationalité et de diplôme.
  • - L'augmentation des moyens en ZEP.
  • - L'abandon de toutes les réformes en cours dans la Fonction Publique.

C'est touTEs ensemble qu'on va gagner ! Action !

Source : liste réseau des bahuts, reçu le 19 avr 16:33


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Communiqué de Sud éducation et Sud étudiant - Dès le 6 mai, du primaire au supérieur : opposons une riposte unitaire à la casse de l'éducation publique !

Dès le 6 mai, du primaire au supérieur : opposons une riposte unitaire à la casse de l'éducation publique !

Après une manifestation ayant rassemblée plus de 40.000 personnes de la région parisienne le jeudi 10 avril, ce sont 50.000 personnes qui ont défilé ce mardi 15 avril à Paris. Malgré la volonté du gouvernement de voir la mobilisation être étouffée sous les mesures répressives à l'encontre des lycéen-ne-s, force est de constater que le mouvement ne faiblit pas.

Dans ce contexte, les revendications restent inchangées :

- rétablissement des 11.200 postes dans l'éducation nationale ; 25 élèves par classes dans les lycées généraux et dédoublement des classes en lycées pro

- Maintien des BEP et des Bac Pro en 4 ans.

- Maintien de toutes les options.

- Non à l'éducation à deux vitesses, aucune application des mesures du rapport Pochard qui renforce les inégalités entre établissements avec un financement au mérite.

- Non à la destruction des services publics.

- Respect des droits des lycéens, notamment dans les droits à l'expression et à l'organisation.

D'autre part, le désengagement financier de l'état dans l'éducation nationale n'atteient pas exclusivement l'enseignement secondaire. Ainsi, dans le primaire, les nouveaux programmes sont en train d'être validés, ainsi que la mise en place de deux heures de « soutien ». Dans l'enseignement supérieur, les plans licence et campus se font le prolongement de l'application de la LRU, tendant à concrétiser la mise en place d'universités à deux vitesses.

Au vu de l'urgence de la situation, il nous semble donc qu'il convient d'opposer la riposte la plus unitaire possible aux projets gouvernementaux dans l'éducation nationale. Nous appelons donc à une journée de mobilisation massive sur l'ensemble de l'hexagone dès la rentrée, le mardi 6 mai, afin de préparer une mobilisation massive au cours du mois de mai.

Enseignant-e-s, personnels, lycéen-ne-s, étudiant-e-s : opposons une mobilisation massive au gouvernement, tout au long du mois de mai !

Les fédérations des syndicats Sud éducation et Sud étudiant

Source : http://www.sud-etudiant.org/article.php3?id_a...


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Pécresse annonce un nouveau désengagement de l'état dans les universités : refusons ces mesures dès le 6 mai !

VERSION IMPRIMABLE

Alors que l'ensemble des niveaux de l'éducation subissent actuellement des attaques de la part du gouvernement, et malgré la récente LRU ainsi que le plan licence ou encore les diminutions de bourses étudiantes, il semblerait que le gouvernement souhaite de nouveau soumettre l'ensemble du système éducatif à une tonte en règle de leurs financements publics.

En effet, la ministre de l'enseignement supérieur a déclaré dernièrement qu'il était nécessaire de revoir les attributions de budget aux universités non pas en calculant en fonction du nombre d'étudiant-e-s inscrit-e-s, mais en fonction du nombre d'étudiant-e-s qui passaient les examens.

En faisant cette déclaration lundi 27 avril, Valérie Pécresse l'ignore probablement en parant son annonce de tous les aspects de la révélation, mais elle a soulevé une question déjà ancienne : au moyen âge, le nombre d'étudiant-e-s passant les examens étaient déjà nettement inférieurs au nombre de ceux qui étaient inscrits aux cours...

Et pourtant, fort heureusement, il nous faut constater que l'université a changé depuis cette période. Si les inégalités sont encore très loin d'avoir disparues, elles se sont déplacées.

D'une part, le taux d'absentéisme lors des examens n'est pas aussi élevé que voudrait le faire croire la ministre de l'enseignement supérieur : les amphithéâtres ne sont pas de mornes plaines désertiques dès lors qu'il s'agit de passer les examens ! Bien au contraire, on constate bien souvent une plus forte présence lors des examens de fin de semestre que pendant les cours.

Il n'est pas difficile de déterminer les raisons de ce constat :

- une politique d'orientation exécrable depuis plusieurs années, avec, à la clé, la diminution constante du nombre de postes aux concours de conseillers d'orientation psychologues

- le désengagement financier de l'état qui engendre directement un manque de personnels (enseignant-e-s comme non enseignant-e-s), et donc une impossibilité de la part des enseignant-e-s à répondre de manière satisfaisante aux étudiant-e-s

- mais surtout, le refus de prendre en compte la réalité de la précarité étudiante : plus de 50% des étudiant-e-s sont aujourd'hui contraints de se salarier au cours de l'année, en plus d'assumer leurs études

En dépassant le volet concernant simplement la partie « enseignement » des universités, il convient aussi de prendre en compte l'aspect « recherche ». En effet, on constate chaque année que de nombreux étudiant-e-s en master et doctorat ne soutiennent pas leur mémoire ou leur thèse en un an, comme le prévoit « le calendrier LMD ». La raison en est simple : il s'agit de proposer un résultat final des recherches de qualité. Il en va donc de la qualité de la recherche universitaire, puisque ces mémoires et thèses sont bien souvent une base importante pour les recherches à venir des enseignant-e-s chercheurs/euses.

Implicitement, on devine la volonté de la ministre de revenir à un système de contrôle des présences étudiantes lors des cours et des examens. Or, il est nécessaire de rappeler que l'absentéisme n'est en aucun cas un choix des étudiant-e-s concerné-e-s, mais bien une conséquence directe de la précarité qu'ils/elles subissent : un-e étudiant-e salarié-e ne peut que difficilement rendre compatible son emploi et ses études.

Sous le prétexte d'optimiser les financements alloués aux universités, la volonté de calculer les dotations en fonction des taux de présence lors des examens traduit donc, une nouvelle fois, la volonté d'un désengagement financier par l'état.

Les universités de lettres, de sciences humaines et de sciences sociales, qui sont considérées comme celles connaissant les plus forts taux d'absentéisme lors des examens, de par le fait qu'elles sont aussi celles qui accueillent le plus d'étudiant-e-s salarié-e-s, seront donc les premières pénalisées alors même qu'elles sont déjà nettement sous dotées comparativement aux filières dites de « sciences dures ».

Quant à ces dernières filières de « sciences dures », elles subiraient aussi les conséquences de ce refonte des critères de dotation, puisqu'elles semblent aussi connaître ces dernières années des augmentations du taux d'absentéisme lors des examens.

La volonté est donc claire de la part de la ministre de l'enseignement supérieur, elle s'inscrit dans la logique voulue pour réformer l'université, dans la lignée du processus européen de Bologne et de la récente LRU : désengager financièrement l'état, afin de faire en sorte que les entreprises prennent le relais. Ces investissements privés ne pouvant être indolores, il se ferront ressentir à la fois sur le contenu des enseignements et sur les orientations des travaux de recherche.

Pour la fédération Sud étudiant, il est donc non seulement nécessaire de rejeter cette nouvelle proposition abhérante de Valérie Pécresse, mais de porter collectivement des revendications pour faire en sorte d'aller vers un enseignement public gratuit et de qualité. Cela signifie donc qu'il est nécessaire de :

- garantir une meilleure orientation pour les futur-e-s étudiant-e-s, en augmentant massivement les postes aux concours de l'enseignement et concours de conseillers d'orientation psychologues, étant entendu que la récente « orientation active » n'est en aucun cas une mesure d'orientation, mais bien de sélection sociale

- mettre immédiatement en place un plan de recrutement de personnels dans les universités, et de le pérenniser pour garantir le maintien de ces emplois dans les années qui viennent, ce qui permettra de garantir qu'aucune filière ne soit menacée

- mettre en place de réelles réponses à la précarité étudiante, en allant vers la fin du salariat étudiant contraint : dans l'immédiat, il faut donc une réévaluation des critères de bourse (qui ont récemment été fortement revus à la baisse), afin d'aller vers la mise en place d'un salaire social garant d'une autonomie pour la jeunesse

Pour cela, nous appelons donc les étudiant-e-s à rejoindre massivement la mobilisation unitaire de l'enseignement, dans les manifestations dès le 6 mai. Au delà, il est nécessaire de faire en sorte d'aller vers une organisation collective des étudiant-e-s par des assemblées générales dans les semaines qui viennent.

Source : http://www.sud-etudiant.org/article.php3?id_a...


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Lycéens : l'UNL appelle à une journée d'action mardi

NOUVELOBS.COM | 03.05.2008 | 16:05

Les lycéens sont appelés " à une journée d'actions partout en France" mardi 6 mai par l'Union Nationale Lycéenne, contre les suppressions de postes prévues à la rentrée.

L'Union nationale lycéenne (UNL) invite les lycéens mardi 6 mai à une journée d'actions pour protester contre les suppressions de postes prévues à la rentrée, a annoncé un porte-parole de l'UNL.
"Mardi sera une journée d'actions un peu partout en France. A Paris, une manifestation est prévue à 14H00 depuis la place de la République jusqu'à Nation. Pour la province, les modalités d'actions sont en discussion au cours de ce week-end", a déclaré ce porte-parole.

La mobilisation reprend

Il s'agira de la 8e manifestation à Paris dans le cadre de la mobilisation, principalement francilienne, entamée fin mars contre les 8.830 suppressions de postes prévues dans le public pour la rentrée depuis la fin mars. Ce mouvement, auquel se joignent aussi des enseignants et des parents d'élèves, reprendra donc après deux semaines de trêve dues aux vacances de Pâques de la zone C (Paris, Créteil, Versailles, Bordeaux).

Source : liste AG-IdF, reçu le 4 mai
Source : http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/soc...